Just another manic Monday... Installation jour 1

Time to settle down… Today I go to the apartment.  Miracle, the taxi driver used his meter and the painters are waiting, ready to start their work…

And I am waiting too; waiting for the delivery of the house appliances we bought last Saturday. One hour, two hours…. Many phone calls… The appliances are finally sent, one by one, on a tuktuk (three-wheeler).  One may think that, as we bought them in the same shop, they could be sent together in one truck, but no…. No such practicalities here.

Some bad news: a sudden monsoon rain shows that the laundry room is far from water proof, no way I can put a washing machine over there. And the fridge seems too big to make it through the staircase…

The painters are thirsty; I have no drinking water and no cups. I go downstairs to ask the landlady’s cook for some water. He is actually taking a nap… on the floor. Either he thinks it is cooler, or he is not allowed to sleep on a chair… He gets up very graciously and gives us a bottle of fresh water. I hand him back the apartment key, as I intend to go and pick up Camille from school.

But I cannot leave so easily… The fridge remained stuck in the lobby, and another team has just come to the rescue, they started painfully pushing and pulling the huge box through the staircase. I try to “escape” through the servant quarters, but they cannot be reached from our apartment. Damned…

I finally manage to get out of the trap. One hour late… Impossible to find a taxi, I hail a three-wheeler and there we go! I am pretty sure I am the only mom who picked up her child in a three-wheeler, and the only Oberoi Hotel customer to arrive triumphantly in that kind of vehicle… Well, not everyone has a Porsche.

Comment garder son calme. … Jour 1

Nous nous installons… Aujourd’hui je me rends a l’appartement. Miracle, le chauffeur de taxi utilise le compteur et les peintres m’attendent, prets a travailler.

Et j’attends moi aussi… J’attends la livraison des appareils electromenagers que nous avons achetes samedi dernier. Une heure, deux heures… De nombreux coups de fil… Et les voila enfin, un par un, chacun sur son tuktuk (triporteur). On aurait pu croire qu’en les ayant achetes dans le meme magasin, ils auraient ete livres dans un meme camion, mais non…  C’eut ete trop simple.

Mauvaise nouvelle: une soudaine pluie de mousson revele que la “laundry room” est loin d’etre etanche, impossible d’y mettre le lave linge. Et le refrigerateur semble trop volumineux pour etre monte par la cage d’escalier…

Les peintres ont soif, je n’ai pas d’eau potable ni de verres. Je descends demander de l’eau au cuisinier de la proprio. Il fait la la sieste, allonge par terre… Soit c’est plus rafraichissant, soit il n’a pas le droit d’utiliser les sieges… Il nous donne de l’eau avec bonne grace, et je lui rends les clefs car je dois aller chercher Camille…

Mais je ne peux pas partir … Le refrigerateur est toujours bloque dans le couloir d’entrée, une nouvelle equipe de livreurs vient de debarquer et ils essaient de pousser et de tirer peniblement l’enorme carton dans les escaliers. J’essaie de m’esquiver par les “servant quarters” mais ils ne sont pas accessibles de notre palier… Damnation.

Je finis par m’en sortir… Une heure de retard. Impossible de trouver un taxi, je hele un triporteur et c’est parti ! Je suis sans doute la seule maman a aller chercher son enfant en triporteur. Et la seule cliente de l’hotel Oberoi a rentrer triomphalement par ce moyen de locomotion… Tout le monde ne peut pas avoir une Porsche.